Manger à la cantine peut s’avérer être compliqué pour certains enfants.
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Pour les enfants qui n’ont pas un appétit d’ogre et qui ont tendance à rechigner pour finir leur assiette, déjeuner chaque jour à la cantine, c’est un peu la croix et la bannière ! Nombreux sont les parents qui se plaignent en effet que leur rejeton n’avale rien au repas de midi. Pourtant, beaucoup sont bien obligés d’opter pour cette alternative du fait de leur activité
professionnelle. II faut alors savoir l’expliquer aux enfants tout en trouvant des solutions.
IDENTIFIER LES RAISONS DU DÉGOÛT
Si votre enfant se plaint de déjeuner à la cantine, il faut tout d’abord essayer de comprendre pourquoi. La plupart du temps, ce ne sont pas les plats en eux-mêmes qui posent problème mais le contexte de la pause repas. Beaucoup se plaignent du bruit ambiant ou de ne pas avoir suffisamment le temps de déjeuner avant de reprendre l’école. Souvent, les menus sont aussi très éloignés de ce que les enfants ont l’habitude de manger à la maison. Enfin, il suffit d’une seule mauvaise expérience (les épinards ou les choux de Bruxelles que l’on nous force à ingurgiter par exemple) pour qu’ils ne veuillent plus mettre les pieds à la cantine.
RÉÉQUILIBRER AVEC LE GOÛTER ET LE DÎNER
Mais que les parents se rassurent! À moins que les enfants développent des troubles alimentaires (auquel cas une prise en charge spécifique est nécessaire), rares sont ceux à ne rien avaler du tout au déjeuner. Quelques pommes de terre, quelques bouchées de steak ou la moitié d’un yaourt, les écoliers difficiles ne repartent pas en cours le ventre vide même s’ils mangent peu.
L’important est de rééquilibrer l’alimentation de votre enfant lors du petit déjeunée, du goûter et du dîner. La première chose à faire est de se procurer la liste des repas de la semaine à la cantine et d’identifier ce que votre rejeton mangera ou non. S’il n’a pas consommé de fruits, de légumes ou suffisamment de protéines, on corrige le tir en proposant une pomme ou une banane à 16 heures et en cuisinant des légumes frais le soir, accompagnés d’un poisson ou d’une viande.
Attention toutefois à ne pas rattraper un déjeuner light au moment du goûter.
On ne « gave » pas son enfant à quelques heures du repas et encore moins avec des gâteaux industriels ou des aliments trop sucrés. Il faut ici privilégier les fruits, les laitages ou le classique mais très efficace morceau de pain avec une barre de chocolat.
Enfin, pas question de glisser des en-cas dans le cartable de votre progéniture, non seulement parce que la plupart des règlements intérieurs des écoles l’interdisent mais aussi parce que l’enfant dois’habituer à faire des repas à heures fixes et surtout à ne pas trop grignoter. Cela lui permet aussi d’apprendre les bonnes habitudes alimentaires dès le plus jeune âge.
PRENDRE DE BONNES HABITUDES TRÈS TÔT
Pour éviter d’avoir à gérer des repas difficiles à la cantine, l’idéal est bien sûr d’habituer son enfant très tôt à manger de tout, même ce qui lui fait le moins envie. Plus ses menus seront diversifiés, moins il aura de difficultés à s’alimenter en dehors de la maison.
On peut aussi commencer par l’inscrire à la cantine seulement deux jours par semaine pour qu’il s’y habitue en douceur. Enfin, s’il vous parle d’aliments qu’il n’aime pas mais qu’il n’a pas goûtés, lancez-lui
des petits défis: rien ne vaut le jeu pour dépasser ses craintes et ses a priori !
professionnelle. II faut alors savoir l’expliquer aux enfants tout en trouvant des solutions.
IDENTIFIER LES RAISONS DU DÉGOÛT
Si votre enfant se plaint de déjeuner à la cantine, il faut tout d’abord essayer de comprendre pourquoi. La plupart du temps, ce ne sont pas les plats en eux-mêmes qui posent problème mais le contexte de la pause repas. Beaucoup se plaignent du bruit ambiant ou de ne pas avoir suffisamment le temps de déjeuner avant de reprendre l’école. Souvent, les menus sont aussi très éloignés de ce que les enfants ont l’habitude de manger à la maison. Enfin, il suffit d’une seule mauvaise expérience (les épinards ou les choux de Bruxelles que l’on nous force à ingurgiter par exemple) pour qu’ils ne veuillent plus mettre les pieds à la cantine.
RÉÉQUILIBRER AVEC LE GOÛTER ET LE DÎNER
Mais que les parents se rassurent! À moins que les enfants développent des troubles alimentaires (auquel cas une prise en charge spécifique est nécessaire), rares sont ceux à ne rien avaler du tout au déjeuner. Quelques pommes de terre, quelques bouchées de steak ou la moitié d’un yaourt, les écoliers difficiles ne repartent pas en cours le ventre vide même s’ils mangent peu.
L’important est de rééquilibrer l’alimentation de votre enfant lors du petit déjeunée, du goûter et du dîner. La première chose à faire est de se procurer la liste des repas de la semaine à la cantine et d’identifier ce que votre rejeton mangera ou non. S’il n’a pas consommé de fruits, de légumes ou suffisamment de protéines, on corrige le tir en proposant une pomme ou une banane à 16 heures et en cuisinant des légumes frais le soir, accompagnés d’un poisson ou d’une viande.
Attention toutefois à ne pas rattraper un déjeuner light au moment du goûter.
On ne « gave » pas son enfant à quelques heures du repas et encore moins avec des gâteaux industriels ou des aliments trop sucrés. Il faut ici privilégier les fruits, les laitages ou le classique mais très efficace morceau de pain avec une barre de chocolat.
Enfin, pas question de glisser des en-cas dans le cartable de votre progéniture, non seulement parce que la plupart des règlements intérieurs des écoles l’interdisent mais aussi parce que l’enfant dois’habituer à faire des repas à heures fixes et surtout à ne pas trop grignoter. Cela lui permet aussi d’apprendre les bonnes habitudes alimentaires dès le plus jeune âge.
PRENDRE DE BONNES HABITUDES TRÈS TÔT
Pour éviter d’avoir à gérer des repas difficiles à la cantine, l’idéal est bien sûr d’habituer son enfant très tôt à manger de tout, même ce qui lui fait le moins envie. Plus ses menus seront diversifiés, moins il aura de difficultés à s’alimenter en dehors de la maison.
On peut aussi commencer par l’inscrire à la cantine seulement deux jours par semaine pour qu’il s’y habitue en douceur. Enfin, s’il vous parle d’aliments qu’il n’aime pas mais qu’il n’a pas goûtés, lancez-lui
des petits défis: rien ne vaut le jeu pour dépasser ses craintes et ses a priori !