Les Pitons
A La Réunion, le terme de « Piton » est d’abord employé pour désigner les deux grands massifs volcaniques - Le Piton des Neiges et le Piton de la Fournaise - qui sont à l'origine de l'île. Mais ce terme est aussi plus largement utilisé pour désigner les nombreux monts, pics et sommets de l'île, et en particulier la multitude de cônes éruptifs secondaires. Ces petits pitons visibles sur toute l'île n'ont pas eu de rôle fondateur mais ils sont les vestiges des inombrables éruptions qui ont façonné l’île. Les autres sommets qui parsèment l'île sont nés de l'activité tectonique ayant entraîné des glissements et effondrements de blocs des deux pitons créateurs de l'île. Le plus bel exemple est celui du Piton d’Anchain, dans le cirque de Salazie.
Les Cirques
Un cirque désigne une enceinte naturelle aux parois abruptes, généralement de forme circulaire ou semi-circulaire, installée sur les flancs d’un massif montagneux. Les cirques y sont l’un des témoignages les plus originaux de la perpétuelle transformation de l’île conjuguant les forces contraires du volcanisme et de l’érosion, des coulées de lave, des effondrements et glissements de terrains. Mafate, Salazie et Cilaos sont les trois principaux cirques qui marquent le paysage, par leur forme de poire et leur disposition en « as de trèfle » autour du Piton des Neiges, donnant à l’île son relief unique. Chacun des cirques est aussi un monde à part, avec une morphologie et une histoire qui lui est propre. L’île abrite aussi d’autres cirques plus discrets, comme le site de Grand Bassin ou le cirque de Bélouve, comblé par les dernières éruptions du Piton des Neiges. Et sur les flancs du Piton de la Fournaise, on devine la naissance de futurs cirques.
A La Réunion, le terme de « Piton » est d’abord employé pour désigner les deux grands massifs volcaniques - Le Piton des Neiges et le Piton de la Fournaise - qui sont à l'origine de l'île. Mais ce terme est aussi plus largement utilisé pour désigner les nombreux monts, pics et sommets de l'île, et en particulier la multitude de cônes éruptifs secondaires. Ces petits pitons visibles sur toute l'île n'ont pas eu de rôle fondateur mais ils sont les vestiges des inombrables éruptions qui ont façonné l’île. Les autres sommets qui parsèment l'île sont nés de l'activité tectonique ayant entraîné des glissements et effondrements de blocs des deux pitons créateurs de l'île. Le plus bel exemple est celui du Piton d’Anchain, dans le cirque de Salazie.
Les Cirques
Un cirque désigne une enceinte naturelle aux parois abruptes, généralement de forme circulaire ou semi-circulaire, installée sur les flancs d’un massif montagneux. Les cirques y sont l’un des témoignages les plus originaux de la perpétuelle transformation de l’île conjuguant les forces contraires du volcanisme et de l’érosion, des coulées de lave, des effondrements et glissements de terrains. Mafate, Salazie et Cilaos sont les trois principaux cirques qui marquent le paysage, par leur forme de poire et leur disposition en « as de trèfle » autour du Piton des Neiges, donnant à l’île son relief unique. Chacun des cirques est aussi un monde à part, avec une morphologie et une histoire qui lui est propre. L’île abrite aussi d’autres cirques plus discrets, comme le site de Grand Bassin ou le cirque de Bélouve, comblé par les dernières éruptions du Piton des Neiges. Et sur les flancs du Piton de la Fournaise, on devine la naissance de futurs cirques.
Les Remparts
Le terme de « remparts » utilisé en géographie est une particularité réunionnaise. A l’image des constructions humaines, il désigne ici des parois vertigineuses, d’âges et d’origines variés, qui marquent puissamment le relief en de grandes lignes directrices.
Le Maloya
Inscrit en 2009 sur la Liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité, le Maloya est à la fois une forme de musique, un chant et une danse propres à l’île de La Réunion. Métissé, le Maloya a été créé par les esclaves d’origine malgache et africaine dans les plantations sucrières. Dialogue entre un soliste et un choeur accompagné de percussions, le Maloya prend aujourd’hui des formes de plus en plus variées, au niveau des textes comme des instruments.
Le terme de « remparts » utilisé en géographie est une particularité réunionnaise. A l’image des constructions humaines, il désigne ici des parois vertigineuses, d’âges et d’origines variés, qui marquent puissamment le relief en de grandes lignes directrices.
Le Maloya
Inscrit en 2009 sur la Liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité, le Maloya est à la fois une forme de musique, un chant et une danse propres à l’île de La Réunion. Métissé, le Maloya a été créé par les esclaves d’origine malgache et africaine dans les plantations sucrières. Dialogue entre un soliste et un choeur accompagné de percussions, le Maloya prend aujourd’hui des formes de plus en plus variées, au niveau des textes comme des instruments.