L’ADIR
L’Association pour le Développement Industriel de La Réunion (ADIR) est née en 1975 par le regroupement de chefs d’entre- prises industrielles. Mais l’histoire de l’industrie à La Réunion plonge ses racines bien plus loin, aux origines des filières d’agro-
transformation au premier rang desquelles la filière Canne-Sucre. Les premiers outils industriels sont en effet apparus dans les sucre- ries au début du XIXème siècle. Le fait industriel s’est ensuite développé, après la départementalisation, avec une stratégie d’import substitution: produire ici, à partir de matières premières éventuellement importées, plutôt que d’importer des produits finis. L’ADIR compte en 2019 188 adhérents, dont 153 entreprises industrielles qui représentent 75% du chiffre d’affaires de la filière.
L’Association pour le Développement Industriel de La Réunion (ADIR) est née en 1975 par le regroupement de chefs d’entre- prises industrielles. Mais l’histoire de l’industrie à La Réunion plonge ses racines bien plus loin, aux origines des filières d’agro-
transformation au premier rang desquelles la filière Canne-Sucre. Les premiers outils industriels sont en effet apparus dans les sucre- ries au début du XIXème siècle. Le fait industriel s’est ensuite développé, après la départementalisation, avec une stratégie d’import substitution: produire ici, à partir de matières premières éventuellement importées, plutôt que d’importer des produits finis. L’ADIR compte en 2019 188 adhérents, dont 153 entreprises industrielles qui représentent 75% du chiffre d’affaires de la filière.
L’ARIFEL
La petite graine de l’ARIFEL (Association Réunionnaise Interprofessionnelle des Fruits et Légumes) a bien poussé depuis qu’elle a été plantée en 2012. Elle puise sa force chaque jour dans la passion de l’ensemble des acteurs de la filière fruits et légumes réunionnaise. De la production à la distribution, l’association connecte
et coordonne chacun des piliers pour développer une offre de produits sains et de qualité. Sa mission est de fédérer les producteurs, les grossistes, les transformateurs, les importateurs et les distributeurs afin de répondre aux enjeux de la filière et du territoire. Bref, elle s’occupe de ses oignons mais pas que ! Et pour que son travail porte
vraiment ses fruits, l’ARIFEL est au- tant au service des professionnels que des consommateurs: assurer une juste rémunération des producteurs tout en proposant aux Réunionnais la meilleure qualité et la plus grande diversité possibles de produits agricoles. Et ça, ce ne sont pas des salades.
La petite graine de l’ARIFEL (Association Réunionnaise Interprofessionnelle des Fruits et Légumes) a bien poussé depuis qu’elle a été plantée en 2012. Elle puise sa force chaque jour dans la passion de l’ensemble des acteurs de la filière fruits et légumes réunionnaise. De la production à la distribution, l’association connecte
et coordonne chacun des piliers pour développer une offre de produits sains et de qualité. Sa mission est de fédérer les producteurs, les grossistes, les transformateurs, les importateurs et les distributeurs afin de répondre aux enjeux de la filière et du territoire. Bref, elle s’occupe de ses oignons mais pas que ! Et pour que son travail porte
vraiment ses fruits, l’ARIFEL est au- tant au service des professionnels que des consommateurs: assurer une juste rémunération des producteurs tout en proposant aux Réunionnais la meilleure qualité et la plus grande diversité possibles de produits agricoles. Et ça, ce ne sont pas des salades.
L’ARIPA
Créée en 2010, l’association réunionnaise interprofessionnelle de la pêche et de l’aquaculture (ARIPA) se compose des associations, organisations professionnelles et syndicats intervenant dans la chaîne de valeur du poisson à La Réunion. L’ARIPA a pour missions de favoriser à la fois le développement de la pêche et de l’aquaculture réunionnaises, l’approvisionnement du marché local en poisson et sa régulation. Elle compte à ce jour 127 adhérents, représentant plus de 90 % de la pêche fraîche réunionnaise débarquée, tous soucieux de participer au développement collectif et structuré de la filière.
Créée en 2010, l’association réunionnaise interprofessionnelle de la pêche et de l’aquaculture (ARIPA) se compose des associations, organisations professionnelles et syndicats intervenant dans la chaîne de valeur du poisson à La Réunion. L’ARIPA a pour missions de favoriser à la fois le développement de la pêche et de l’aquaculture réunionnaises, l’approvisionnement du marché local en poisson et sa régulation. Elle compte à ce jour 127 adhérents, représentant plus de 90 % de la pêche fraîche réunionnaise débarquée, tous soucieux de participer au développement collectif et structuré de la filière.
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SYNDICAT DU SUCRE
Premier producteur européen de sucre de canne, l’industrie sucrière de La Réunion est aussi le premier secteur d’exportation de La Réunion avec plus de 90% de sa production commercialisée en Europe. Fortement ancrée dans le territoire réunionnais, l’industrie sucrière est au cœur de la filière Canne-Sucre-Rhum-Energie qui joue un rôle clé pour l’équilibre du territoire réunionnais, son agri- culture et son économie en assurant notamment environ 13% des emplois marchands de l’île. Elle est aussi le socle d’un modèle
Les différentes missions menées par le Syndicat du Sucre de La Réunion lui ont permis d’acquérir une bonne connaissance du territoire, de l’agriculture ainsi que des organismes professionnels agricoles, des collectivités et des institutions. Le Syndicat du Sucre négocie par ailleurs les accords avec les producteurs de canne (Convention Canne), négociée dans le cadre du Comité Interprofessionnel de la Canne et du Sucre (CPCS).
Premier producteur européen de sucre de canne, l’industrie sucrière de La Réunion est aussi le premier secteur d’exportation de La Réunion avec plus de 90% de sa production commercialisée en Europe. Fortement ancrée dans le territoire réunionnais, l’industrie sucrière est au cœur de la filière Canne-Sucre-Rhum-Energie qui joue un rôle clé pour l’équilibre du territoire réunionnais, son agri- culture et son économie en assurant notamment environ 13% des emplois marchands de l’île. Elle est aussi le socle d’un modèle
Les différentes missions menées par le Syndicat du Sucre de La Réunion lui ont permis d’acquérir une bonne connaissance du territoire, de l’agriculture ainsi que des organismes professionnels agricoles, des collectivités et des institutions. Le Syndicat du Sucre négocie par ailleurs les accords avec les producteurs de canne (Convention Canne), négociée dans le cadre du Comité Interprofessionnel de la Canne et du Sucre (CPCS).
ARIBEV
Les interprofessions animales réunionnaises ARIBEV et ARIV, constituées il y a plus de 40 ans, poursuivent des objectifs de développement territorial en soutenant l’emploi local et en permettant au consommateur réunionnais de bénéficier de produits locaux à des prix les plus accessibles possibles. L’Association Réunionnaise Interprofessionnelle du Bétail et de la Viande et l’Association Réunionnaise de la Volaille et du lapin réunissent donc l’ensemble des acteurs des filières à savoir les producteurs, les transformateurs, les importateurs, les distributeurs et l’Etat, ce qui représente 2300 emplois directs. Jouant un rôle moteur dans la politique de développement des filières, l’ARIBEV et l’ARIV privilégient une « approche marché » afin de faire correspondre l’offre aux exigences locales et de garantir la sécurité d’approvisionnement d’une population en croissance. Elles favorisent ainsi le développe- ment de la production de viande et de lait et assurent un approvisionnement correct en qualité, en quantité et en prix du marché réunionnais. Elles soutiennent les prix, accompagnent l’organisation du marché, initient des actions incitatives à la qualité et compensent les handicaps structurels (comme par exemple le surcoût du transport). Elles assurent en outre la promotion et la valorisation de l’image de marque des produits locaux. Conscientes des responsabilités « socio-écolomique » qui leur incombent, sur un petit territoire insulaire, à la biodiversité fragile, et avec des attentes fortes en termes de création d’emploi et de valeur ajoutée sur le territoire, les filières animales réunionnaises ont souhaité proposer un nouveau pro- jet de développement : DEFI responsable 2025, construit autour de 4 plans d’action principaux : agroécologique, «compétitivité responsable»,«nouveaux débouchés» et un plan de communication renforcée...
Les interprofessions animales réunionnaises ARIBEV et ARIV, constituées il y a plus de 40 ans, poursuivent des objectifs de développement territorial en soutenant l’emploi local et en permettant au consommateur réunionnais de bénéficier de produits locaux à des prix les plus accessibles possibles. L’Association Réunionnaise Interprofessionnelle du Bétail et de la Viande et l’Association Réunionnaise de la Volaille et du lapin réunissent donc l’ensemble des acteurs des filières à savoir les producteurs, les transformateurs, les importateurs, les distributeurs et l’Etat, ce qui représente 2300 emplois directs. Jouant un rôle moteur dans la politique de développement des filières, l’ARIBEV et l’ARIV privilégient une « approche marché » afin de faire correspondre l’offre aux exigences locales et de garantir la sécurité d’approvisionnement d’une population en croissance. Elles favorisent ainsi le développe- ment de la production de viande et de lait et assurent un approvisionnement correct en qualité, en quantité et en prix du marché réunionnais. Elles soutiennent les prix, accompagnent l’organisation du marché, initient des actions incitatives à la qualité et compensent les handicaps structurels (comme par exemple le surcoût du transport). Elles assurent en outre la promotion et la valorisation de l’image de marque des produits locaux. Conscientes des responsabilités « socio-écolomique » qui leur incombent, sur un petit territoire insulaire, à la biodiversité fragile, et avec des attentes fortes en termes de création d’emploi et de valeur ajoutée sur le territoire, les filières animales réunionnaises ont souhaité proposer un nouveau pro- jet de développement : DEFI responsable 2025, construit autour de 4 plans d’action principaux : agroécologique, «compétitivité responsable»,«nouveaux débouchés» et un plan de communication renforcée...