Moyen de transport écologique et pratique, le vélo fait de plus en plus d’adeptes chez les grands comme chez les petits. Loin de se cantonner aux sorties familiales du week-end, bon nombre d’adolescents vont ainsi à l’école à vélo et s’exposent dès lors à certains risques.
LE DANGER GUETTE
Bien que les villes multiplient de plus en plus les pistes cyclables, il existe encore beaucoup d’endroits où les vélos doivent partager le bitume avec les automobilistes. Et là il vaut mieux être concentré ! Car le cycliste un jour ou l’autre sera confronté à différents imprévus auxquels il devra réagir en 1/4 de seconde s’il ne veut pas faire un vol plané. En ligne de mire, il faut être particulièrement vigilant, vis-à-vis des angles morts des voitures, des sorties de garage ou de parking mais aussi des ouvertures de portières inopinée par des véhicules stationnés.
UN APPRENTISSAGE ENCADRÉ
Pour éviter de retrouver votre bout de chou aux urgences, il est essentiel de lui apprendre dès le plus jeune âge, les consignes élémentaires pour circuler à vélo.
S’il ne s’agit évidemment pas de lui faire passer son code, vous devez lui inculquer des notions de base de sécurité routière tels que le fait de s’arrêter au feu rouge et de laisser la priorité à droite. Il doit aussi connaître la signification des panneaux de signalisation les plus importants, que sont, le stop, le cédez- le-passage, le sens interdit, un croisement et bien entendu la signalétique de la piste cyclable. De même, toute introduction sur le bitume doit s’accompagner d’un apprentissage des règles propres aux cyclistes. Le vélo doit rouler à droite de la chaussée, utiliser les pistes ou bandes cyclables quand il y en a, respecter une distance de sécurité avec les autres véhicules, ne pas les dépasser par la droite et surtout ne pas zigzaguer entre les voitures.
Par ailleurs, votre enfant doit pouvoir systématiquement signaler son intention de tourner, en levant un bras dans la direction souhaitée, sans perdre la maîtrise de son bolide.
S’il ne s’agit évidemment pas de lui faire passer son code, vous devez lui inculquer des notions de base de sécurité routière tels que le fait de s’arrêter au feu rouge et de laisser la priorité à droite. Il doit aussi connaître la signification des panneaux de signalisation les plus importants, que sont, le stop, le cédez- le-passage, le sens interdit, un croisement et bien entendu la signalétique de la piste cyclable. De même, toute introduction sur le bitume doit s’accompagner d’un apprentissage des règles propres aux cyclistes. Le vélo doit rouler à droite de la chaussée, utiliser les pistes ou bandes cyclables quand il y en a, respecter une distance de sécurité avec les autres véhicules, ne pas les dépasser par la droite et surtout ne pas zigzaguer entre les voitures.
Par ailleurs, votre enfant doit pouvoir systématiquement signaler son intention de tourner, en levant un bras dans la direction souhaitée, sans perdre la maîtrise de son bolide.
TRAVAUX PRATIQUES
Mieux qu’un long discours, c’est sur le terrain, sous votre surveillance et équipé comme il se doit (casque, sonnette, dispositif réfléchissant) que votre cycliste en herbe apprendra les consignes de sécurité routière. C’est d’autant plus important que les enfants de 8 à 10 ans ont du mal à différencier les espaces de jeux sécurisés où ils peuvent rouler sans entrave et les espaces soumis aux règles de circulation.
C’est la raison pour laquelle, il ne faut jamais laisser un bambin de moins de 10 ans, voir jusqu’à 12 en ville, circuler seul à vélo. À cet âge la tentation de tester ses limites ou de les surestimer est grande, ce qui augmente le risque d’accidents. Multiplier donc les balades pédagogiques au cours desquelles vous pourrez vous arrêter devant les panneaux de signalisation pour un petit quiz et attirer l’attention de votre enfant sur les dangers potentiels qui l’entourent.
Pour bien lui faire comprendre la notion d’angle mort, vous pouvez enfin l’installer sur le siège conducteur de votre voiture et vous placer à différents endroits autour, de sorte qu’il s’aperçoive, qu’il ne vous voit pas toujours dans le rétroviseur.
C’est la raison pour laquelle, il ne faut jamais laisser un bambin de moins de 10 ans, voir jusqu’à 12 en ville, circuler seul à vélo. À cet âge la tentation de tester ses limites ou de les surestimer est grande, ce qui augmente le risque d’accidents. Multiplier donc les balades pédagogiques au cours desquelles vous pourrez vous arrêter devant les panneaux de signalisation pour un petit quiz et attirer l’attention de votre enfant sur les dangers potentiels qui l’entourent.
Pour bien lui faire comprendre la notion d’angle mort, vous pouvez enfin l’installer sur le siège conducteur de votre voiture et vous placer à différents endroits autour, de sorte qu’il s’aperçoive, qu’il ne vous voit pas toujours dans le rétroviseur.