Une fable sur la place de l'homme sur Terre et son impact sur les différents milieux. C'est ce que proposent Lionel Caro et Olivier Giraud dans une bande-dessinée intitulée Le Monde de Tys. Les adultes sauront lire entre les lignes de cette BD destinée aux 7 – 12 ans, sorte d'“Avatar” pour enfants. “En marge du monde des hommes, des êtres poisson-reptile-humains vivent paisiblement sous l'eau, explique Lionel Caro, le scénariste. Ces êtres sont confrontés au bouleversement de leur environnement dont ils prennent le plus grand soin. Au fur et à mesure les problèmes arrivent et ils sont contraints de remonter à la surface, où ils constatent que les hommes ne font pas attention” à la planète. L'histoire fait étrangement écho au reportage-révélation d'Elise Lucet, Cash Investigation sur le plastique, sorti récemment. Mais Lionel Caro, lui, travaille sur le sujet depuis au moins un an, le temps de fabrication d'une BD. “On fait croire que le bon geste c'est trier/recycler, poursuit le scénariste, mais le recyclage est subventionné par ceux-là même qui produisent le plastique. On culpabilise le consommateur” alors que c'est à “ceux qui produisent de proposer des alternatives”, estime l'auteur. Un tome 2 est en chantier, il pourrait attaquer une autre catastrophe écologique, celle des cosmétiques par exemple.
BD péï de la rentrée, disponible dans toutes les Fnac de l'île
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Le baobab : un super fruit
Après la baie de goji, le pamplemousse ou le cantaloup, le fruit du baobab a accédé, aux yeux des diététiciens, au rang de “super-aliment”. “Dans ma famille on utilisait le fruit pour faire une espèce de yaourt délicieux et nourrissant”, explique Annah Muvhali, une Sud-Africaine qui s'est lancée dans la vente de ce produit. “Je m'en sers également pour mes petits-enfants, lorsqu'ils ont mal à l'estomac”. Les fruits du baobab sont réduits en poudre ou en huile qui s'arrachent dans le monde entier. On en ajoute dans les smoothies ou les sauces pour sa haute teneur en antioxydants, en fibres, en vitamines ou en minéraux. On s'en enduit le corps pour soigner des maladies de peau comme l'eczéma. On essaye ?
Après la baie de goji, le pamplemousse ou le cantaloup, le fruit du baobab a accédé, aux yeux des diététiciens, au rang de “super-aliment”. “Dans ma famille on utilisait le fruit pour faire une espèce de yaourt délicieux et nourrissant”, explique Annah Muvhali, une Sud-Africaine qui s'est lancée dans la vente de ce produit. “Je m'en sers également pour mes petits-enfants, lorsqu'ils ont mal à l'estomac”. Les fruits du baobab sont réduits en poudre ou en huile qui s'arrachent dans le monde entier. On en ajoute dans les smoothies ou les sauces pour sa haute teneur en antioxydants, en fibres, en vitamines ou en minéraux. On s'en enduit le corps pour soigner des maladies de peau comme l'eczéma. On essaye ?
Oslo sans voiture ?
Bien décidée à prendre un tournant écolo, Oslo chasse l'automobile de son centre-ville lentement mais sûrement. Pour y parvenir, la capitale norvégienne a imaginé une série de mesures dissuasives : suppression de 700 places de stationnement, zonage rendant impossible la traversée du centre en voiture, piétonnisation de rues, renchérissement des péages urbains... Résultat : le trafic est réduit à sa portion congrue dans une zone de 1,9 km2 de l'hypercentre, où environ 5.500 personnes vivent et 120.000 travaillent.
Bien décidée à prendre un tournant écolo, Oslo chasse l'automobile de son centre-ville lentement mais sûrement. Pour y parvenir, la capitale norvégienne a imaginé une série de mesures dissuasives : suppression de 700 places de stationnement, zonage rendant impossible la traversée du centre en voiture, piétonnisation de rues, renchérissement des péages urbains... Résultat : le trafic est réduit à sa portion congrue dans une zone de 1,9 km2 de l'hypercentre, où environ 5.500 personnes vivent et 120.000 travaillent.