Les élèves de CM2 A de l’école élémentaire du centre-ville de Saint-Leu ont planté des arbustes et des lianes sur la plage du centre-ville de Saint-Leu, en présence du maire de la commune qui a lui aussi mis la main à la pâte : des patates à Durand, des patates cochon (plantes rampantes qui évitent l’érosion), des veloutiers, des maniocs marrons (arbustes qui attirent les tortues), ainsi que des lataniers rouges et des porchers (arbres qui protègent la plage des nuisances).
L’école gère depuis 3 ans, la seule Aire Marine Educative de La Réunion avec le soutien de nombreux partenaires : l’Agence Française de la Biodiversité, l’Académie de La Réunion, la Réserve Marine, l’Initiative Française sur les Récifs Coralliens (IFRECOR), Reef Chek, le Territoire de la Côte Ouest (TCO) et la mairie de Saint-Leu.
L’école s’est dotée d’une pépinière pour mener à bien ce projet qui vise à retenir le sable, attirer les tortues, créer des espaces à l’ombre et embellir le paysage.
L’école gère depuis 3 ans, la seule Aire Marine Educative de La Réunion avec le soutien de nombreux partenaires : l’Agence Française de la Biodiversité, l’Académie de La Réunion, la Réserve Marine, l’Initiative Française sur les Récifs Coralliens (IFRECOR), Reef Chek, le Territoire de la Côte Ouest (TCO) et la mairie de Saint-Leu.
L’école s’est dotée d’une pépinière pour mener à bien ce projet qui vise à retenir le sable, attirer les tortues, créer des espaces à l’ombre et embellir le paysage.
Redynamiser les Hauts
Territoire Rural des Hauts et Groupe d’Action Locale Ouest (TERH GAL Ouest) a fait son bilan après un an d’existence. Ce programme vise le développement des zones rurales des Hauts de l’Ouest (La Possession, Saint-Paul, Trois-Bassins et Saint-Leu ), notamment en finançant des projets liés à la gestion durable des ressources. 92 projets ont été subventionnés pour une enveloppe globale de 1,9 million d’euros, dont la majorité concerne l’agriculture (par exemple, une aquaponie-aquaculture à Marla). TERH GAL Ouest est porté par la communauté d’agglomération du Territoire de la Côte Ouest, en partenariat avec les 3 chambres consulaires de La Réunion (Chambre d’agriculture, Chambre de Métiers et de l’Artisanat, Chambre de Commerce et d’Industrie), l’Association Développement Rural Réunion (AD2R) et le Parc National de La Réunion.
Sauver les oiseaux
Jusqu’au 2 mai prochain, les partenaires de la onzième édition des Nuits sans lumières s’engagent pour limiter la pollution lumineuse. Depuis son lancement en 2009, l’opération portée par le Parc National, la Société d’Etudes Ornithologiques de La Réunion (SEOR) et le Conseil de la Culture, de l’Education et de l’Environnement (CCEE) mobilise de plus en plus de partenaires qui participent aux campagnes d’extinction de l’éclairage et aux actions de sensibilisation, avec en ligne de mire la préservation des espèces ornithologiques menacées, en effectuant au passage des économies énergétiques. En quelques années, on est passé sur l’île d’une seule nuit d’extinction des éclairages à 25 nuits. Aujourd’hui, c’est une centaine de participants qui se mobilisent : collectivités, entreprises, écoles, médiathèques, bailleurs sociaux, associations... Le gestionnaire du réseau électrique, Electricité de France (EDF), par ailleurs partenaire de l’événement, a révélé que lors de l’édition de l’année dernière 820 Mwh (soit l’équivalent de 315 foyers) ont été économisés par rapport à une période habituelle de consommation. L’extinction des éclairages vise en priorité à ne pas perturber l’envol des jeunes pétrels de Barau ou pétrels noirs de Bourbon ; cela profite également aux tortues qui ne pondent que sur les plages sombres et peu fréquentées ainsi qu’aux jeunes tortues qui se trompent parfois de chemin et s’éloignent du rivage, attirées par les éclairages urbains.