Région : L’Ermitage
Notre accompagnateur : Mariannick Le Mevel, guide du jardin d’Eden
Info pratique : Entrée payante
À l’entrée de l’Ermitage, entre la RN1 et la savane, se loge depuis 25 ans le jardin d’Eden !
Ce jardin ethnobotanique, riche de plus de 700 espèces, doit son existence au travail d’un homme passionné de botanique : Philippe Kaufmant. Son but était de retrouver en un seul lieu la diversité des espèces tropicales de la zone océan Indien et notamment des plantes dites utiles, qu’elles soient comestibles, médicinales ou sacrées !
Ce jardin, conçu à l’Anglaise, recèle de coins et recoins aux ambiances différentes, d’autant plus prononcées que la végétation tropicale est dense ! Ouvrez l’œil, vous aurez aussi sûrement la chance d’y croiser des endormis.
Notre accompagnateur : Mariannick Le Mevel, guide du jardin d’Eden
Info pratique : Entrée payante
À l’entrée de l’Ermitage, entre la RN1 et la savane, se loge depuis 25 ans le jardin d’Eden !
Ce jardin ethnobotanique, riche de plus de 700 espèces, doit son existence au travail d’un homme passionné de botanique : Philippe Kaufmant. Son but était de retrouver en un seul lieu la diversité des espèces tropicales de la zone océan Indien et notamment des plantes dites utiles, qu’elles soient comestibles, médicinales ou sacrées !
Ce jardin, conçu à l’Anglaise, recèle de coins et recoins aux ambiances différentes, d’autant plus prononcées que la végétation tropicale est dense ! Ouvrez l’œil, vous aurez aussi sûrement la chance d’y croiser des endormis.
D’une superficie totale de 2,5 hectares, il est découpé en plusieurs espaces thématiques.
Dans le sens de la visite, le premier que l’on traverse est le jardin aquatique. Un étang naturel qui a été conservé par le premier propriétaire des lieux. On y retrouve des espèces des marais et surtout le lotus, la plante sacrée des Indiens.
Viennent ensuite une bambousaie et une petite palmeraie puis le jardin créole, la partie la plus ancienne, dominée par un immense tonneau de chêne en provenance de la première distillerie de l’île à la Rivière-du-Mât. Dans cette partie du jardin, est installé un petit cercle de plantes médicinales où l’on reconnaît aisément la citronnelle et le géranium.
De l’autre côté du pont, après la fontaine des amoureux, ce sont les cactus.
Il reste encore le marais à traverser sur un long ponton qui surplombe une mer de joncs avant de retrouver notre point de départ.
Dans le sens de la visite, le premier que l’on traverse est le jardin aquatique. Un étang naturel qui a été conservé par le premier propriétaire des lieux. On y retrouve des espèces des marais et surtout le lotus, la plante sacrée des Indiens.
Viennent ensuite une bambousaie et une petite palmeraie puis le jardin créole, la partie la plus ancienne, dominée par un immense tonneau de chêne en provenance de la première distillerie de l’île à la Rivière-du-Mât. Dans cette partie du jardin, est installé un petit cercle de plantes médicinales où l’on reconnaît aisément la citronnelle et le géranium.
De l’autre côté du pont, après la fontaine des amoureux, ce sont les cactus.
Il reste encore le marais à traverser sur un long ponton qui surplombe une mer de joncs avant de retrouver notre point de départ.