Encore plus :
Marie-Christine a l’habitude de retourner sur son île natale pour des raisons professionnelles et familiales. Ses rituels incluent une visite incontournable au temple de Saint-Denis. Sa première action à son arrivée ?
S’adonner à la dégustation de samoussas, sa préférence allant désormais vers ceux au fromage et aux brèdes-piment ! (une découverte qu’elle a pu faire lors de son dernier passage à la Préfecture de La Réunion lors d’un événement)
Un autre rituel crucial pour elle consiste à faire un tour au Ti Bazar et au Temple Indien, un moment qu’elle qualifie «d’apaisement entre deux mondes», alliant spiritualité, rassemblement et recueillement en lien avec ses ancêtres.
«Je ne connais rien aux prières indiennes, j’y viens depuis de nombreuses années pour ce moment de pause hors du temps.” En effet, cela revêt une grande importance pour elle, tout comme marcher dans la rue Maréchal Leclerc, source d’un véritable bonheur, elle qui est fière d’être Dionysienne.
C’est un bonheur inouï pour la journaliste de ressentir la diversité de La Réunion dans cette rue tout en percevant les odeurs, les couleurs qui évoquent le métissage réunionnais. «Paris est différente de La Réunion.
J’ai quitté l’île à l’âge de 18 ans, ai suivi des études en hypokhâgne et à Sciences Po, puis je suis partie au Canada ! Ce pays correspondait à mon désir de découverte [...] J’ai été éduquée par ma grand-mère, qui m’a toujours encouragée à aller plus loin en me disant ‘Allez, faut sauter la mer et aller toujours plus loin !’ explique la Présidente d’Outremers 360 en nous montrant une photo de sa grand-mère adorée, qui hélas n'est plu là, sur son téléphone.
Elle enchaîne : “J’ai étudié à l’Université de Montréal, à l’Université McGill et ai obtenu une bourse pour aller à Harvard aux États-Unis. Cette expérience canadienne m’a comblée de bonheur et m’a formée, elle est différente des États- Unis mais instructive.
L’expérience nord-américaine suscite le désir de dire «on peut y arriver, vous avez vos chances, le tout est de ne pas lâcher. La volonté d’y arriver est essentielle.»
Passionnée, Marie-Christine a travaillé pendant plus de 17 ans dans les relations internationales dans plusieurs institutions, l’Université Jean Moulin III, ainsi qu’au ministère des Affaires étrangères et au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.
Avant de se consacrer aux médias, elle œuvrait dans le domaine de la coopération internationale.
Elle a exercé son activité pour ces institutions et a sillonné les pays tels que l’Amérique du Nord, l’Asie et le Pacifique, où elle a développé de nombreux programmes de coopération.
Ce qui l’anime, c’est la passion pour les relations internationales, le tissage de liens entre les individus et les nations. Contribuer à la construction d’un territoire, en établissant des relations entre deux régions, représente pour elle une source d’accomplissement. «Et finalement c’est le même dénominateur commun avec les Outre-mer, tisser des liens et participer d’une certaine façon à la construction de nos territoires».
S’adonner à la dégustation de samoussas, sa préférence allant désormais vers ceux au fromage et aux brèdes-piment ! (une découverte qu’elle a pu faire lors de son dernier passage à la Préfecture de La Réunion lors d’un événement)
Un autre rituel crucial pour elle consiste à faire un tour au Ti Bazar et au Temple Indien, un moment qu’elle qualifie «d’apaisement entre deux mondes», alliant spiritualité, rassemblement et recueillement en lien avec ses ancêtres.
«Je ne connais rien aux prières indiennes, j’y viens depuis de nombreuses années pour ce moment de pause hors du temps.” En effet, cela revêt une grande importance pour elle, tout comme marcher dans la rue Maréchal Leclerc, source d’un véritable bonheur, elle qui est fière d’être Dionysienne.
C’est un bonheur inouï pour la journaliste de ressentir la diversité de La Réunion dans cette rue tout en percevant les odeurs, les couleurs qui évoquent le métissage réunionnais. «Paris est différente de La Réunion.
J’ai quitté l’île à l’âge de 18 ans, ai suivi des études en hypokhâgne et à Sciences Po, puis je suis partie au Canada ! Ce pays correspondait à mon désir de découverte [...] J’ai été éduquée par ma grand-mère, qui m’a toujours encouragée à aller plus loin en me disant ‘Allez, faut sauter la mer et aller toujours plus loin !’ explique la Présidente d’Outremers 360 en nous montrant une photo de sa grand-mère adorée, qui hélas n'est plu là, sur son téléphone.
Elle enchaîne : “J’ai étudié à l’Université de Montréal, à l’Université McGill et ai obtenu une bourse pour aller à Harvard aux États-Unis. Cette expérience canadienne m’a comblée de bonheur et m’a formée, elle est différente des États- Unis mais instructive.
L’expérience nord-américaine suscite le désir de dire «on peut y arriver, vous avez vos chances, le tout est de ne pas lâcher. La volonté d’y arriver est essentielle.»
Passionnée, Marie-Christine a travaillé pendant plus de 17 ans dans les relations internationales dans plusieurs institutions, l’Université Jean Moulin III, ainsi qu’au ministère des Affaires étrangères et au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.
Avant de se consacrer aux médias, elle œuvrait dans le domaine de la coopération internationale.
Elle a exercé son activité pour ces institutions et a sillonné les pays tels que l’Amérique du Nord, l’Asie et le Pacifique, où elle a développé de nombreux programmes de coopération.
Ce qui l’anime, c’est la passion pour les relations internationales, le tissage de liens entre les individus et les nations. Contribuer à la construction d’un territoire, en établissant des relations entre deux régions, représente pour elle une source d’accomplissement. «Et finalement c’est le même dénominateur commun avec les Outre-mer, tisser des liens et participer d’une certaine façon à la construction de nos territoires».
OUTREMERS360
“Pendant mon expérience à France Ô, où a débuté ma carrière journalistique, j’ai vécu des expériences significatives.
Luc Laventure, l’ardent défenseur des Outre-mer et grand homme des médias m’a tout appris, sa vision humaniste des Outre-mer, casser les codes et changer les regards ou juste sa vision du monde tout court. À cette époque, France Ô était en cours d’intégration sur la TNT, et nous avons collaboré sur ce projet. Par la suite, Luc a exprimé le désir de créer Outremers360 pour aller encore plus loin dans la diffusion des Outre-mer, et après réflexion, j’ai décidé : «D’accord, embarquons dans cette aventure ensemble !»
Depuis maintenant 8 ans, Outremers360 est devenu un média de référence de l’actualité des Outre-mer Nous avons réussi à tisser des liens avec des médias privés des outre-mer, nous nous distinguons par une remarquable réactivité sur les sujets liés à la politique et à l’institutionnel, l’économie et nous sommes souvent appelés par les médias nationaux pour des sujets.” explique la journaliste.
Elle enchaîne : «Nous n’avons pas de couleur politique», souligne-t-elle. «Pour nous, ce qui est. important, c’est que les faits soient justes et de donner la parole aux acteurs de tous les territoires des Outre-mer et de l’hexagone. [...]
Dès le début, j’ai occupé le poste de rédactrice en chef.
Mon objectif était que nos journalistes soient les premiers sur l’information, tout en veillant à la justesse de nos sujets. Luc Laventure, en tant que spécialiste des outre-mer, a apporté une expertise essentielle et l’ADN du média.
Notre positionnement se divise en deux aspects :
nous sommes un média d’information.
nous sommes également très sollicités pour l’organisation d’événements institutionnels et économiques à l’instar de médias de l’hexagone. Le groupe média existe depuis 8 ans et nous sommes encore en train de nous développer.”
Aujourd’hui, elle a évolué de rédactrice en chef à patronne de presse, des responsabilités différentes et qui occupent.
En ce qui concerne la dimension radiophonique, le groupe média a récemment étendu son influence en inaugurant une radio qui diffuse la musique des Outre-mer, des podcasts, des émissions comme dialogues Outre-mer et de nouveaux programmes seront disponibles bientôt. Marie-Christine est une femme engagée, portant son soutien à diverses causes, par exemple les violences faites aux femmes, le soutien à la jeunesse. «Tout comme le média est engagé sur des causes avec un ADN très service public, de porter les sujets sociétaux car c’est important de porter sa voix pour faire avancer des sujets».
Je suis très heureuse d’avoir été choisie pour siéger au conseil d'administration de la Fondation d’Albioma qui soutient les projets pour la préservation de la biodiversité en outre-mer et la lutte pour l’insertion professionnelle.
En un an j’ai vu des projets fabuleux et un travail colossal.» Et suis. très heureuse également de collaborer avec le SMA, une institution incontournable qui fait beaucoup pour les jeunes en Outre-mer».
Suite au décès du co-fondateur Luc Laventure, il y a deux ans, c’est elle qui a courageusement pris le relais de la direction du groupe tout en continuant à gérer l’information. «J’ai beaucoup de chance d’avoir une équipe soudée et investie qui est en fait une famille sur laquelle je peux compter».
Actuellement, la recherche est toujours en cours pour dénicher la personne idéale qui pourrait occuper le poste de rédacteur en chef. «Je n’ai pas encore trouvé la personne, mais je dois la trouver voir repenser l’organisation éventuellement car nous avons beaucoup de projets de développement et nous souhaitons innover davantage” affirme-t-elle.
Ce nouvel ajout à la sphère médiatique témoigne de la croissance constante du groupe, tout en préservant son engagement envers une information de qualité et engagée, comme elle le dit «au service et au plus près des territoires des Outre-mer».
Luc Laventure, l’ardent défenseur des Outre-mer et grand homme des médias m’a tout appris, sa vision humaniste des Outre-mer, casser les codes et changer les regards ou juste sa vision du monde tout court. À cette époque, France Ô était en cours d’intégration sur la TNT, et nous avons collaboré sur ce projet. Par la suite, Luc a exprimé le désir de créer Outremers360 pour aller encore plus loin dans la diffusion des Outre-mer, et après réflexion, j’ai décidé : «D’accord, embarquons dans cette aventure ensemble !»
Depuis maintenant 8 ans, Outremers360 est devenu un média de référence de l’actualité des Outre-mer Nous avons réussi à tisser des liens avec des médias privés des outre-mer, nous nous distinguons par une remarquable réactivité sur les sujets liés à la politique et à l’institutionnel, l’économie et nous sommes souvent appelés par les médias nationaux pour des sujets.” explique la journaliste.
Elle enchaîne : «Nous n’avons pas de couleur politique», souligne-t-elle. «Pour nous, ce qui est. important, c’est que les faits soient justes et de donner la parole aux acteurs de tous les territoires des Outre-mer et de l’hexagone. [...]
Dès le début, j’ai occupé le poste de rédactrice en chef.
Mon objectif était que nos journalistes soient les premiers sur l’information, tout en veillant à la justesse de nos sujets. Luc Laventure, en tant que spécialiste des outre-mer, a apporté une expertise essentielle et l’ADN du média.
Notre positionnement se divise en deux aspects :
nous sommes un média d’information.
nous sommes également très sollicités pour l’organisation d’événements institutionnels et économiques à l’instar de médias de l’hexagone. Le groupe média existe depuis 8 ans et nous sommes encore en train de nous développer.”
Aujourd’hui, elle a évolué de rédactrice en chef à patronne de presse, des responsabilités différentes et qui occupent.
En ce qui concerne la dimension radiophonique, le groupe média a récemment étendu son influence en inaugurant une radio qui diffuse la musique des Outre-mer, des podcasts, des émissions comme dialogues Outre-mer et de nouveaux programmes seront disponibles bientôt. Marie-Christine est une femme engagée, portant son soutien à diverses causes, par exemple les violences faites aux femmes, le soutien à la jeunesse. «Tout comme le média est engagé sur des causes avec un ADN très service public, de porter les sujets sociétaux car c’est important de porter sa voix pour faire avancer des sujets».
Je suis très heureuse d’avoir été choisie pour siéger au conseil d'administration de la Fondation d’Albioma qui soutient les projets pour la préservation de la biodiversité en outre-mer et la lutte pour l’insertion professionnelle.
En un an j’ai vu des projets fabuleux et un travail colossal.» Et suis. très heureuse également de collaborer avec le SMA, une institution incontournable qui fait beaucoup pour les jeunes en Outre-mer».
Suite au décès du co-fondateur Luc Laventure, il y a deux ans, c’est elle qui a courageusement pris le relais de la direction du groupe tout en continuant à gérer l’information. «J’ai beaucoup de chance d’avoir une équipe soudée et investie qui est en fait une famille sur laquelle je peux compter».
Actuellement, la recherche est toujours en cours pour dénicher la personne idéale qui pourrait occuper le poste de rédacteur en chef. «Je n’ai pas encore trouvé la personne, mais je dois la trouver voir repenser l’organisation éventuellement car nous avons beaucoup de projets de développement et nous souhaitons innover davantage” affirme-t-elle.
Ce nouvel ajout à la sphère médiatique témoigne de la croissance constante du groupe, tout en préservant son engagement envers une information de qualité et engagée, comme elle le dit «au service et au plus près des territoires des Outre-mer».